ANDRH | Organisation matricielle dans un groupe international – lien hiérarchique vs. lien fonctionnel
Sophie Marinier

Karine Bézille

Sandra Hundsdörfer

Aude Dumas

ANDRH | Organisation matricielle dans un groupe international – lien hiérarchique vs. lien fonctionnel
En pratique, de nombreux groupes de sociétés nationaux et internationaux ont recours à une organisation matricielle qui se traduit par la réunion opérationnelle des collaborateurs d’un même groupe, travaillant sur les mêmes sujets, quelle que soit l’entité juridique du groupe à laquelle ils appartiennent individuellement, en France ou à l’étranger. En principe, malgré l’organisation matricielle, chaque collaborateur doit rester intégré à son entité juridique, qui est son employeur contractuel et à qui l’exercice des fonctions du collaborateur doit profiter.
Sandra Hundsdörfer, avocate associé, et Aude Dumas, avocate au sein de LPA-CGR avocats font le point sur les avantages mais également les risques d’une telle organisation dans la publi-interview parue dans le supplément du magazine de l’ANDRH n°625 (juin 2023).